Écrivez votre Pièce du Château des Cent Mille Pièces

Le Château des 100 000 pièces est situé tout au bout du bord de l’extrême le plus lointain caché derrière les dernières montagnes du monde. Et les murs, et les tours et les cours et les étages de ce palais s’élèvent, à ce qu’il vous paraît, jusqu’aux premiers arcs de la Lune.
 
Si vous avez la force de ne pas tourner les talons à ce moment précis de votre vie, vous traverserez le pont-levis de pierre, de glace et d’acier autonome mêlés.
Vous pousserez, non sans effort, le fantastique portail en corail de chimère, qui fait vingt fois votre taille si vous êtes humain.
Voilà, vous êtes entré dans la première des Cent Mille Pièces du Château.
Devant vous, des dizaines de portes, d’escaliers, d’échelles et de corniches.
Vous levez les yeux, rempli de crainte et de vertige : votre regard se perd à l’intérieur de la nef, labyrinthe tissé de chemins indistincts, qui finissent par se noyer dans l’obscurité brumeuse des étages supérieurs…
 
C’est là que commence votre exploration du Château !
Vous  êtes à la fois le Héros et l’Auteur du Château
En écrivant vos Pièces, vous ferez partie de la communauté de ses explorateurs.
Et vous n’en ressortirez qu’une fois la 100000ème Pièce découverte. (à l’heure actuelle, 1761 pièces ont été explorées)
Pour écrire votre Pièce, postez un commentaire, (voir ci-dessous).
Si c’est votre première participation, merci de consulter  la Règle du Jeu.
 
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Le grim

LA PORTE FERMÉE. Ce n’est pas de la pierre et ce n’est pas du bois. Ce n’est pas de l’acier non plus. Ma clé aléalectrique est évidemment déchargée et l’aurait elle été… il n’y a pas de serrure, Ce n’est pas un mur, mais une porte, puisque je vois de la lumière qui filtre derrière elle. J’ai usé une hache, et un ou deux tours minimes, ça ne s’ouvre pas. Les portes, autour de moi, ne manquent pas, cet étage est un labyrinthe de couloirs dévorés par les ouvertures. Mais celle-ci reste obtue et c’est elle que je veux franchir… Read more »

Analayann

LE COMPTOIR DE CE(UX) PERDUS ET RETROUVÉS — Vous avez perdu quelque chose ? La question vient de là-bas. Il y a quelqu’un accoudé à un comptoir de bois, devanture d’une boutique à l’allure de celles dont l’arrière renferme mille et un secrets. Comme je ne réponds pas, l’esprit embrumé, l’autre me fait signe d’approcher. J’obéis presque malgré moi. Il n’y a rien d’autre autour. Je ne sais pas ce que je fais là. Est-ce que c’est ce que j’ai perdu ? Mon chemin ? Le sourire que l’entité m’adresse prête à croire que mes pensées ne lui sont pas… Read more »

Petite goutte d'eau

LE TOBOGGAN ROSE Le bruit sourd de la trappe qui claque derrière moi résonne et je me mets à tomber rapidement. Je panique. J’essaie de regarder autour de moi avec les yeux grands ouverts mais la puissante lumière légèrement rosée me force à plisser des yeux. Tout est flou tandis que je glisse rapidement sur le dos, que je fais des virages qui me font pousser des petits cris de surprise. Je lève la tête et regarde mes pieds. Je comprends assez vite qu’est-ce qu’est cet endroit. Je suis dans un immense toboggan en plastique. Je vois le tube fait… Read more »

Petite goutte d'eau

LA PIÈCE AVEC JUSTE UNE TABLE J’entre dans un endroit exigu. Étroit comme un couloir mais d’une longueur tout à fait réduite. Ça pourrait être un débarras mais aucun rangement, aucun carton, même pas de balai, rien qui ne me confirme ma théorie. A la place, une petite table d’écolier collée sur le mur de gauche. Je me penche pour poser mon plat en verre sur cette table, je m’agenouille, je prends une fourchette de mon sac et me mets à dévorer, plutôt que déguster, cette magnifique tartiflette. Je me demande si toutes les portes menaient à des petits cagibis… Read more »

un gars...

LE VASE CLOS Carnet de Devhinn Pièce perdue n°17 (soit la 61ème pièce) Le contact s’est évanoui depuis longtemps, ma main n’a plus de guide et mes pieds s’en satisfont. Pas à pas je découvre sous mes semelles usées la sensation subtile du sol qui change de matière, du bois branlant au verre légèrement glissant. Et peu de temps après, l’eau, partout. Je me noie. Mon corps par instinct poussé en avant se désarticule, mon cerveau pris par surprise lui ordonne de se coordonner, mais l’air, alimentation suprême, ne passe plus. Quant à mes vêtements, à l’unisson, ils se gorgent… Read more »

Petite goutte d'eau

LA SALLE A MANGER LA PLUS LUXUEUSE J’ouvre la porte sur une immense pièce éclairée à la lumière de centaines de bougies positionnées sur des chandeliers. Je vois à peine le mur du fond, couvert de tableaux tous encadrés d’or. Je ferme la porte derrière moi et avance de quelques pas, avant que mes chaussures sales ne rencontrent un tapis élégamment décoré. Je m’arrête, je n’ose pas avancer plus et je me mets à regarder autour de moi. Au milieu de la pièce, une table garnie d’un banquet. Des mets ayant l’air divin sur des plateaux tout aussi beaux. Autour… Read more »

Miss Lovegood

LA PIECE COQUILLE La pièce était immense. Du haut d’une montagne, Esprit surplombait des petits villages bordés par un sombre lac dont on ne voyait la fin. Le lac, les forêts sur le flanc de la montagne, les clairières et les prairies où quelques troupeaux de moutons s’entassaient. Cet univers, si calme et immobile, contrastait avec la frénésie des villages. D’en haut, Esprit percevait néanmoins chacun des bruits des femmes et hommes qui discutaient énergiquement. Des milliers de conversations s’entrechoquaient dans une étonnante harmonie. La curiosité d’Esprit était attisée par les couleurs chatoyantes des villages. Les toits rouges, les murs… Read more »

Miss Lovegood

LA PIECE DES HISTOIRES Il y a des histoires que l’on n’oublie jamais. Des histoires auxquelles on ne mettra jamais de point final. Des histoires que l’on quitte l’espace de quelques instants, quelques années, et puis que l’on retrouve. Il y a des histoires qui ne nous quittent jamais. Qui restent enfouies, on les pense disparues, mais elles resurgissent quand justement, nous en avons besoin. Elles attendent patiemment avant de revenir brusquement, lorsqu’elles nous semblent si lointaines que l’on peut les contempler comme des inconnues pourtant familières. Il y a des histoires qui nous poursuivent pour toujours, qui nous hantent,… Read more »

Ondine

LA PIECE OU JE ME TROUVE ACTUELLEMENT Pas une ombre. Silence. Quelqu’un a laissé a porte ouverte, alors je suis allée m’asseoir devant le bureau. Mais, presque aussitôt, une humaine est venue briser ma sérénité, ce qui est, on ne va pas se le cacher, la spécialité de cette espèce « Bonjour, tu es la prof ? Je pensais avoir cours ici… – Ah non non, j’ai choisi cette place pour voir ce que ça faisait d’avoir de l’autorité – Ah… Je ne sais pas quoi faire. Je pensais avoir cours ici. – Bah… – Bah c’est pas ici visiblement. –… Read more »

Analayann

LÀ OÙ JE SUIS ASSISE Je suis fatiguée… Je suis… Je suis ? Cette constatation me surprend. Je suis. Je… je pensais… je pensais ? Je pensais avoir disparue. Non pas être morte. Mais disparue. Effacée. Oubliée. Pourtant… Pourtant je suis. Ce sont des échos de souvenirs qui m’ont ramenée. Je les sens encore, ils résonnent en moi, caressent ma peau, chuchotent à mon oreille, laissent leurs saveurs dans ma bouche, s’attardent dans le coin de ma vision. Ils m’ont traversée et me font exister. J’ai l’impression de sortir d’un long sommeil, je suis une vieille machinerie qui se remet… Read more »

un gars...

L’ANTRE D’UN ARCHITECTE RÉVOLU Carnet de Devhinn Pièce perdue n°16 (soit la 60ème pièce) Je ne sais pas où elles sont. Je ne sais pas si elles sont. Je ne sais plus, qui, quand, quoi que ce soit. J’ai l’impression que cela fait tout juste un an que nous marchions cahin-caha dans l’obscurité, allant nulle part, oui, c’était bien ça. Comme si ce souvenir, sans images, m’était parvenu par hasard. Une bougie qu’on souffle, la dernière ou la première. Je suis seul. Je ne suis pas seul. Un homme d’une cinquantaine d’années griffonne sur un grand bureau, ou plutôt sur… Read more »

sophie

A la rencontre de mes dragons J’aime les dragons, ce sont des créatures magnifiques, enchanteresses, puissantes. Les miens sont particulièrement féroces. Enfin, je dis les miens mais en vrai, c’est moi qui leur appartiens. Ils n’ont pas besoin de m’attacher pour que je leur sois serviable pour l’éternité. Ils règnent sur mon âme et m’assujettissent à leur pouvoir. Il ne s’agit pas de force brute mais d’une persuasion perverse qui s’infiltre entres mes cellules comme de la lymphe, épaisse et stagnante. Ils m’apportent beaucoup de sérénité. Les savoir présents et dominants me rassure. Lorsqu’ils s’éloignent, je me sens désemparée. Dans… Read more »

Aur'Jan (Bah Bernard)

LES ECURIES QUI SENTENT ETONNAMMENT BON – L’arcade que je viens de franchir ouvre sur un long hangar aux murs en lattes de bois sombre, une grange en quelque sorte. Je me tiens sur une allée centrale grossièrement pavée, tandis qu’à ma gauche comme à ma droite se dressent des sortes de boxes. Serais-je dans une écurie ? Je pousse le battant d’un box et constate la présence d’un abreuvoir et d’un bac empli de foin. Aux murs, des brosses et des fers sont suspendus, semblant confirmer mon hypothèse. Toutefois, pas la moindre trace de cheval dans la stalle –… Read more »

Aur'Jan (Bah Bernard)

LA COUR QUI SENT LE FUMIER – M’y voilà. Depuis le temps que j’en entends parler de ce fameux château, je suis enfin en son enceinte. Les légendes qui l’entourent circulent depuis des années déjà au village, et de nombreux aventuriers y ont tenté leur chance pour en percer le mystère, sans jamais en ressortir. Moi, toutes ces histoires de mystères, de gloire et de fortune, ce n’est pas trop ma tasse d’hydromel. J’ai passé l’âge, je laisse ça aux jeunes ! Et pourtant, voilà qu’à mon tour aujourd’hui j’ai poussé le lourd portail du Cathedrhall – au prix d’un… Read more »

Sophie Wilford

Le couloir de marches Imprégnée de mon intuition et m’étant faufilée avec peine pour fuir les chaînes et les profondeurs lourdes du donjon, je me retrouve dans un couloir de marches. Je cligne des yeux et je les écarquille pour feindre l’obscurité. Non, il ne s’agit pas d’un défaut de vision ni de langage mais bel et bien d’un couloir de marches. Il ne s’agit pas ici de monter ou de descendre mais plutôt de se repérer ou d’escalader. Je penche ma tête d’un côté puis de l’autre. Rien ne fait sens. Mon cerveau me joue-t-il à nouveau des tours… Read more »

Sophie Wilford

Le donjon Je tente d’ouvrir mes yeux boursoufflés. Je grelotte. Là où je me trouve, il fait froid et humide. Une odeur nauséabonde flotte, me pénètre jusqu’au tripes et une fois de plus je suis prise de violentes nausées. Je me roule sur le côté juste le temps d’éviter de me vomir dessus. Le bruit émis par mes contractions gutturales résonne dans toute la pièce, toutes les pièces. Un sentiment de solitude extrême m’envahit tandis que je prends petit à petit conscience du lieu. A tâtons, je me tire vers une position assise et m’adosse à ce qui paraît être… Read more »

Sophie Wilford

LE SEUIL Je franchis le seuil et je tombe à genoux. Tout explose en moi. Un feu d’artifice propulsant chaque atome de ma personne dans un autre système solaire. J’accueille la violence de cette expérience avec extase. Jamais je n’aurais cru vivre cela de mon vivant. Ils me regardent tous mais peu importe, je suis trop ivre d’émotions et je dégueule leurs préjugés. Je reprends mes esprits, petit à petit, un à la fois et je les range soigneusement dans leur boite. J’essaye de tiédir mes sens en ébullition mais quelqu’un vient de remettre quelques buches sous la marmite. Mes… Read more »

Rozennwyn-Sìne

LA CAVE AUX BOUTEILLES Dans le noir, je tends la main devant moi en tentant de m’orienter. Je sens des bouteilles sous mes doigts qui tintent doucement, la soif me prend et j’hésite à déboucher le bouchon de liège mais je ne peux résister à la soif dévorante qui me déchire la gorge. – Tu as de l’eau dans ton sac, tu le sais, un peu. Pourquoi hésiter ainsi? me demande-je en mettant la bouteille sous mon nez pour identifier son contenu. Un relent d’alcool m’emplit les narines mais je recommence pour tenter d’identifier le relent sous-jacent qui me pique… Read more »

Rozennwyn-Sìne

LA CUISINE POURRIE Je regarde autour de moi et je vois une cuisine tout ce qu’il y a de plus banale. L’odeur me prend à la gorge et je vomis. La faim me tenaille et je fouille dans les placards à la recherche de nourriture, en vain. Je regarde de nouveau autour de moi à la recherche de la sortie mais je ne la trouve pas, je fronce les sourcils, perplexe et je fouille dans mon sac à la recherche d’un outil qui m’aide. Assise sur le sol carrelé de la cuisine, je cherche réfléchis sans trouver d’issue. – Ce… Read more »

Jad de Salicande

LA PIÈCE DU REPOS Comme l’impression d’arriver au bout d’un tunnel sans fin… Je me réveille en haletant, et les sens immédiatement en alerte, je regarde autour de moi. Alors qu’une impression de danger envahit mon esprit, les informations données par mes cinq sens l’apaisent immédiatement. Je suis dans une chambre avec des murs en bois, entouré par des plantes et des fleurs de toutes sortes, et un bassin se remplit d’une eau claire et turquoise au fond de la pièce. Le bruit de l’eau est le seul qui titille mon ouïe, et mon odorat m’informe que des particules de… Read more »

un gars...

UNE PIÈCE JUSTE LÀ, AUTOUR DE NOUS, QUI NOUS ÉCHAPPERA DE TOUTE FAÇON Carnet de Devhinn Pièce perdue n°15 (soit la 59ème pièce) Il faut croire que le Château n’a pas de fond. Sinon nous ne tomberions pas sans cesse d’une pièce dans l’autre. En comparaison la Créature s’insinuait continuellement comme une douce infusion à la camomille. Là les cendres sont âpres, nous brûlent de l’intérieur, et leur état solide contraste avec la facilité ahurissante avec laquelle nous les avalons à chaque respiration. Et elles semblent s’attaquer à nos yeux comme de multiples insectes en grignoteraient les parois. Le choc… Read more »

Analayann

LE CIMETIÈRE DE CENDRES Je ne peux rien faire pour lutter contre la poigne qui m’attire en avant, tant et si bien que mes pieds s’emmêlent. Je ne tombe pas que grâce à la main qui m’enserre toujours l’épaule. Dès le pas de la porte franchit, une violente lumière se déverse sur nous, me plongeant dans le noir. Tout redevient blanc aussitôt qu’Ombre ferme les paupières. Ses tremblements se sont calmés, disparus en même temps que le rire qui la tuait. La fatigue s’abat sur elle et je la reçois de plein fouet. — Vous allez bien ? Je reconnais… Read more »

Ombre

LA PIÈCE AUX TRÈFLES À QUATRE FEUILLES (ET AU RIRE INCONTRÔLÉ) Accrochée aux pas d’Analayann, qui court du plus vite qu’elle le peut, nous tentons de rattraper Devhinn. Je sens les émotions qui se dégagent de lui, et ça n’augure rien de bon. Son dégoût et sa honte le font courir à une vitesse folle, et l’espoir de le rejoindre diminue à chaque instant. Mais on essaye tout de même. Pas le choix. De ses poings auxquels sa honte donne une fureur et une force colossale, il brise la porte qui s’était dessinée sur le mur du fond, et sur… Read more »

Thomas

LA CHAMBRE DES SOUTERRAINS (À l’ABANDON) — Et tu es sûr que tu ne te souviens de rien ? Moi j’ai l’impression d’avoir vu quelque chose, dans les dernières secondes avant le choc. Une sorte de flash jaune aveuglant. Aël soupire et pose son livre sur ses genoux, regardant fixement le feu crépiter dans la cheminée. Il agrippe la bouteille posée à côté de lui et prend une gorgée de vin : je constate alors que ses mains tremblent autant que les miennes. — Je te jure. J’ai rien vu. J’enroule mes bras autour de mes genoux et lâche un… Read more »

un gars...

LA PIÈCE DU MOULIN À EAU Carnet de Devhinn Pièce perdue n°14 (soit la 58ème pièce) La fraîcheur de l’eau me surprend instantanément, contrastant avec la consistance tiède de l’intérieur de la Créature. Tandis que je m’assois et évacue tout intrus de mes conduits respiratoires, je note que mes deux alliées sont déjà en train de se relever. Nous sommes dans un sale état, couverts de la tête aux pieds de cette marmelade verdâtre qui sert de corps à la Créature. Ce n’est pas plus mal que nous n’ayons pas vraiment eu à nous y confronter sans doute. Assis dans… Read more »

un gars...

LA MASSE ÉLASTIQUE, ET LE MORCEAU DE LA CRÉATURE Carnet de Devhinn Pièce perdue n°13 (soit la 57ème pièce) C’est allé très vite. Et il n’y avait aucune échappatoire. Notre course s’est arrêtée presque aussi vite que nous l’avions commencée, quand nous nous sommes fait happer par l’immensité visqueuse et malodorante qu’est la Créature. Mais à mon grand étonnement, nous n’avons pas vraiment eu à trouver rapidement un moyen de respirer, cette fois. Après quelques secondes seulement il y a eu un ignoble bruit entre la déchirure et la succion, suivi d’un grondement tout autour de nous. La Créature hurlante.… Read more »

Rozennwyn-Sìne

LE TOBOGGAN INTERMINABLE La chute se poursuit inexorablement et je hurle à pleins poumons sans pouvoir m’arrêter, je tente de me souvenir de l’étage où je me trouvais sans succès. J’espère ne pas me retrouver à la case départ dans la cathédrhalle. – Je ne sais pas si cela est possible, personne n’est jamais ressorti d’ici, j’ai fait une folie en venant ici, je le sais mais je ne sais même pas comment sortir si je le voulais. Je ne sais même plus ce que je veux, si nous sommes le jour ou la nuit, je ne sais pas… Je… Read more »

Rozennwyn-Sìne

LES TOILETTES GEANTES Je lève les yeux car le carrelage blanc m’aveugle et je sens mes yeux s’écarquiller de surprise. Loin au-dessus de moi, une vasque blanche surmontant un pilier blanc me fait perdre pied. Je tourne mon regard de l’autre côté et je remarque une baignoire géante de porcelaine toute aussi blanche campée sur ses pattes griffues de bronze. Une serviette rose vif est pliée sur le rebord. Je note également ce qui semble être un bidet tout aussi blanc ainsi que l’épaisseur moëlleuse du tapis rose vif qui me fait face. – Mais où est donc la sortie?… Read more »