La ptite bulle as La ptite bulle
J’entre dans cette nouvelle pièce, un oiseau passe au dessus de ma tête il frôle ma coiffure en pics. Je regarde autour de moi, l’air est humide, une odeur marrante me chatouille les narine. Elle sent comme une étoile et brille comme une paillette. Le vent se lève cette odeur c’était la poussière, elle vient du fond de la salle où quelque-chose brille entouré de bougie. Je m’avance en regardant autour de moi le sol recouvert d’immense plume d’environ 27,36cm.
Arrivée au fond, c’est éclairé d’une douce lumière rosée ,par la fenêtre on peut voir le ciel couleur guimauve, bon dehors rien a changé. Une odeur de citron me monte au nez. La lumière me sourit. Je tends le bras, attirée, envoutée. Je la touche *plop* elle explosille. Quelques gouttes arrivent sur le bout de mon nez, je le lèche (eh oui je sais le faire -like a boss- enfin bref ce n’est ni l’endroit ni le moment de parler de mes multiples talents, je disais que je lèche le bout de mon nez::) un goût nacré envahit mon palais miam!
Soudainement, je sens comme une pointe dans mon oreille. Je tourne la tête… rien. Je porte la main a mon oreille, celle-ci tousse et recrache un bouton d’ascenseur dans ma main (qui devient immédiatement
violette, mais c’est une autre histoire) le numéro 9:59 .
J’appuie dessus.
La salle commence a tournnnnnnnnnnnnnner.
Je suis projeté contre le mur avec un grand *CLOP*. Des bulles de limonades apparaissent un peu partout dans la salle. Des jolies bulles miroitantes avec des reflets irisés comme une flaque de pétrole.
D’ailleurs en parlant de pétrole…. les bulles s’enflamment et éclairent la salle encore plus vivement. Un chien entre, il se trouve qu’en fait après mûres réflexions c’était un pissenlit (mais après tout quelle importance?). Il me demande de me suivre mais je le perd rapidement de vue après la transformation des billes de feu en trucs rouges en forme de kebab (donc oui une forme plutot douteuse). Heuresement qu’un vase en porcelaine indienne de Toulouse m’indique la direction. Fort probablement je me suis trompée quand même car je sort par une porte cachée dans un mur recouvert d’une couche assez conséquente de pigeon enchapauté trop digne pour daigner me laisser passer, mais passons.
Je sort.
