Tout au bout du bord de l’extrême, derrière les dernières montagnes du Monde, s’élève le Château des 100 000 pièces Les murailles, et les tours et les étages de ce palais s’élèvent, à ce qu’il vous paraît, bien au-delà des nuages, au-dessus des cimes.
LA PIÈCE DES TABLEAUX AUX MODÈLES INCONNUS
LA PIÈCE DES TABLEAUX AUX MODÈLES INCONNUS

LA PIÈCE DES TABLEAUX AUX MODÈLES INCONNUS

le haricot bionique atomique et pas très frais as le haricot bionique atomique et pas très frais (oui, j’enlève les tiraits…)

Lorsque j’arrivais dans le château à mon tour, je décidais, enfreignant toutes les lois du bon sens, de me diriger vers les pièces les plus sombres du manoir. Je laissais derrière moi milles lumières et pièces aux centaines de nuances colorées que j’explorerais plus tard, je vous le promets.
Je descendais donc maintes marches pour découvrir l’endroit le plus sombre de ce château, celle qui semblait plongée dans la nuit la plus totale. La lumière elle-même semblait refusait d’éclairer ce petit pavillon qui ressemblait aux premiers abords à un placard à balais qui n’avais jamais été utilisé.
Pourtant, cela ne pouvait pas être cela parce qu’une énergie étrange émanait de la pièce. Lorsque je poussais la porte, je me retrouvais devant des tableaux, dont un, particulièrement réalistes qui attira mon regard dès que je le vis.
« Bonjour. Je suis le gardien de la pièce des tableaux aux modèles inconnus »
Je tournais la tête de gauche à droite et de droite à gauche sans savoir d’où venait la voix.
« Du tableau, le seul, l’unique, au fond. »
Partout, des tableaux aux visages insaisissable qui ressemblait à toutes les personnes que vous connaissez mais, jamais vous ne pourrez dire a qui elle ressemble.
Alors que je m’apprêtais a toucher une toile, émerveillée, la voix retentit une dernière fois.
« Idiote! Veux tu t’infliger seule le châtiment de l’atableautement?! »
Aussitôt, une bise glaciale souffla, la porte qui était restée ouverte claqua et je me retrouvais seule dans le splendide Hall (description la prochaine fois) et les escaliers que j’avais descendus avaient disparu.

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