-Estyria-
La pièce suivante était trèsombre. Alors que j’avançais prudemment, une lumière tqmisée s’alluma. Les murs semblaient en cristal de roches, und sorte de pierre opaque dans les tons violets. Je m’avançai, prudente.
Soudain, une lueur aveuglante illumina le centre de la pièce, révélant à mes yeux un sablier gigantesque, en bois bleu sculpté. Il était réellement immense et contenait du sable blanc très fin. C’était magnifique, mais malgré tout je n’étais pas à l’aise. Il y avait ici quelque chose d’inhabituel, d’étrange ; et, par ces raisons, d’effrayant. Je tournai autour du sablier. Le sable s’écoulait, lentement, inexorablement. Je. E savais pas ce que cela sihnifiait, et cela me faisait peur.
Je décidai de marchrr le long des murs. Rien ! Je voulus alors tâter le sol à la recherche d’une sortie, en vain. Il n’y avait rien.
Une goutte de sueur froide dégringola dans mon cou.
Je respirai, lentement, pour me calmer. Je jetai u regard anxieu au sablier; presque tout le sable était en bas. Il ne me restai presque plus de temps. Et après ? Que se passerait-il ? Je n’en savais rien mais cela ne m’anonçait rien de bon.
Prenant mon courage à deux mains, je relevai la tête et me plaçai face au sablier. Il n’y avait rien à faire; j’avais tout essayé; si je devais mourir, je tenais à le faire debout. Oui, c’était idiot, mais cela consistait tout de même en une petite consolation.
Le dernier grain tomba dans le trou, s’accrocha une miliseconde à la paroi, puis rebondi sur le tas de sanld, et s’immobilisa.
Pendant un instany, il ne se passa rien. Puis un grondement qui semblait venir des entrailles de la terre retenti, et toute la pièce explosa.
Je fus soulevée dans les airs, je frmai les yeux… mais le mécanisme était précis, et j’atterris dans une nouvelle pièce !
Autrice : Etincelle de Feu, sous le pseudo « Etincelle de Feu »