I don’t care where the enemies are, can’t be stopped, all I know : GO HARD ! as I don’t care where the enemies are, can’t be stopped, all I know : GO HARD !
Trempée, je sortis de l’eau. Cela faisait longtemps que je n’avais pas nagé autant. Cette pièce était d’une taille normal. Il me fallait trouver un moyen de remonter au rez de chaussé, je supportai mal d’être sous terre. Soudain, j’entendis un bruit, ce qui me fit mourir de peur. Brusquement, je me retournai et… Un rat. C’est un rat qui m’avait fait peur comme ça. Je commençais vraiment à être parano… Il me regarda avec des grands yeux noirs et effrayé. Puis il avança, et un « clic » retenti. Non, pas une autre réaction en chaîne… Eh si, les murs commencèrent à se rapprocher les uns des autres. Non mais celui qui avait construit ce château était vraiment fourbe !! Quelle idée de mettre des pièges partout comme ça ? Et quelle idée ce rat avait il eu d’avancer ? Bon, il fallait que je me sorte de là, et vite. Je n’aimais pas les petits endroit. Ça me rendais nerveuse (surtout si je risquai de finir écrasée). Là ! au fond d’un des murs ! Une échelle. D’une pierre deux coups : j’allais pouvoir m’en sortir ET remonter à la surface. Mais il fallait agir rapidement. Ni une, ni deux, je courrai en direction de l’échelle. Mais il fallut que je trébuche sur ce stupide rat qui n’avait rien trouvé de mieux à faire que de rester au milieu de mon chemin. Je l’attrapai précipitamment et le posai sur mon épaule. Je gravis ensuite tant bien que mal l’échelle, si bien que j’arrivai de justesse au sommet : les murs se refermèrent sur ma chaussure gauche. Où étais-je à présent, à demi pieds nus, avec un rat comme seule compagnie ?