La dernière pièce ( celle des motifs ) m’a totalement épuisé . Je regarde ou je suis et je découvre des murs un peu partout , des colonnes , des escaliers, des vitres , bref un véritable labyrinthe .Je m’assois avec la certitude que je dois sortir d’ici au plus vite . Sur le mur d’en face , un miroir est maintenu par un clou totalement rouillé je décide d’aller voire à quoi je ressemble , car c’est vrai ça peut paraitre étrange mais je ne me souviens de rien sur ce que j’ai vaicu avant la pièce des motifs . Je n’est pas très fière allure . Je suis un garçon d’une douzaines d’années pas plus , blond aux yeux verts claires, mon nom, je ne le connais pas mais je décide de m’en donner un nouveau, un tout neuf comme la nouvelle vie que je commence .Je m’appellerais Hop de hope espoir en anglais .Il faut quand même que je me mette en route , je prend à gauche puis à droite mais tout se ressemble et je finis toujours par arrivé au même endroit . Je suis à nouveau devant le miroir quand je remarque une petite porte juste à coté … Bizarre j’était pourtant qu’elle n’était pas là avant . Je l’ouvre et ce que je découvre me frape d’horreur , une dizaines de corps sont par terre . Il sont tous trempés et mort , mort noyés , pourtant je ne vois pas d’eau . Un des corps bouge , tout doucement , le seul qui n’est pas trempé . C’est une fille de mon âge , rousse avec des yeux vert , très mince elle me fixe et me dit :
-Pourquoi à tu refermais la porte maintenant nous sommes bloqués !
Je ne répond rien ,je m’approche de la porte et en effet elle est bloquée mais derrière la jeune fille un objet attire mon attention , c’est une petite bague par terre . Je la montre du doigt et je lui demande :
– C’est à toi ?
– Non .
Je la ramasse et soudain une vague surgit du fond de la pièce , j’attrape la fille par le bras et me précipite vers la porte , je pousse celle-ci et elle finis par céder . Je cours toujours avec la fille mais l’eau nous rattrape je tourne sans savoir ou je vais et je me retrouve de nouveau face à de l’eau . Je m’engage dans un couloir que je n’avais jamais emprunté , je me cogne contre une vitre et j’arrive enfin devant une porte , je l’ouvre sans hésiter . Ouf sauvés !
Autrice : LA ZENTAGLEUSE, sous le pseudo « LA ZENTAGLEUSE »