Tout au bout du bord de l’extrême, derrière les dernières montagnes du Monde, s’élève le Château des 100 000 pièces Les murailles, et les tours et les étages de ce palais s’élèvent, à ce qu’il vous paraît, bien au-delà des nuages, au-dessus des cimes.
LA PIÈCE QUI FAISAIT NAWAKÀ CAUSE DE LA DROGUE, MAIS BON C’EST QUAND MÊME LE MÉCHANT LE PLUS NUL DU MONDE QUI ME L’AVAIT ADMINISTRÉE, IL AURAIT DÛ SE CONVERTIR DANS L’HUMOUR
LA PIÈCE QUI FAISAIT NAWAKÀ CAUSE DE LA DROGUE, MAIS BON C’EST QUAND MÊME LE MÉCHANT LE PLUS NUL DU MONDE QUI ME L’AVAIT ADMINISTRÉE, IL AURAIT DÛ SE CONVERTIR DANS L’HUMOUR

LA PIÈCE QUI FAISAIT NAWAKÀ CAUSE DE LA DROGUE, MAIS BON C’EST QUAND MÊME LE MÉCHANT LE PLUS NUL DU MONDE QUI ME L’AVAIT ADMINISTRÉE, IL AURAIT DÛ SE CONVERTIR DANS L’HUMOUR

Robin

J’ouvre un œil, puis l’autre. Où… dans une cave ! Je tourne la tête. Je suis allongé par terre, à côté de lui. À côté de ce mec. Boucher, hein ? Tueur en série. Jovial ? Monstrueux. Il n’a rien d’humain, rien d’un petit commerçant qui vend des bons trucs bien dégoulinants de graisse. Non. C’est juste un assassin qui attend ses victimes au coin d’une rue et les tue à coup de gigot. Ce même gigot qu’il prétend vendre.
Tout tourne autour de moi. C’est atroce. Quand il prend la parole, j’ai l’impression qu’il hurle dans mon oreille.
-Bonjour Desbois.
-Qui êtes-vous ?
-Ton pire cauchemar.
-Maman ?
-Euh… non. Moi, je suis ton réel pire cauchemar.
-Je maintient que vous êtes ma mère.
-C’est que je ne dois pas faire peur, alors.
-Je dirais même que vous venez de perdre toute crédibilité à mes yeux en moins de trente secondes.
Il frappe son front avec la paume de sa main.
-J’ai mal à la tête !!!
-La drogue…
-Vous m’avez mis quoi dans le sang ?
-Je sais pas.
-Vous êtes vraiment nul, vous le savez, ça.
-Tu dis ça parce que tu n’es pas dans ton état normal.
-Je vais très bien merci.
-Alors pourquoi est-ce que tu parles à ton reflet en pensant que c’est lui ton pire cauchemar ?
Je sursaute. La voix s’est élevée de derrière moi, mais aussi de derrière le méchant. Un… Un miroir ?! Je ris nerveusement avant de m’affaler ne supportant pas de voir la pièce tanguer autour de moi.
-Abruti.
Son talon droit écrase ma tête contre le sol, et appuie, appuie jusqu’à ce que je sombre dans l’inconscience.

Auteur : Sakura en sucre, sous le pseudo « Sakura en sucre »

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