Tout au bout du bord de l’extrême, derrière les dernières montagnes du Monde, s’élève le Château des 100 000 pièces Les murailles, et les tours et les étages de ce palais s’élèvent, à ce qu’il vous paraît, bien au-delà des nuages, au-dessus des cimes.
LA PIÈCE FORÊT TROPICALE VOIRE AMAZONIENNE
LA PIÈCE FORÊT TROPICALE VOIRE AMAZONIENNE

LA PIÈCE FORÊT TROPICALE VOIRE AMAZONIENNE

Leïla#♥ as Leïla#♥

Je m’approchai d’une magnifique plante, verte et bleue, qui sent la fraicheur des près, la brume matinale, et les fleurs qui sentent bons.
Plusieurs. Il y en a plusieurs comme elle accrochées au mur. Elles cachaient en effet une porte de fer, c’est vrai qu’elle n’était pas très belle..
Cette porte végétale était aussi très lourde, je dus pousser très fort pour qu’elle s’ouvre !

Des chants d’oiseaux, des bruits d’animaux, le chant joyeux d’une cascade, une odeur de forêt.
Avant même que je pénètre dedans, tout cela vient vers moi, tel un accueil gentil.
J’avance joyeusement entre les végétaux exotiques, j’évite les branches et tout autre de « mini » dangers qui s’imposent sur mon chemin.
Je cherchais les fenêtres de la pièce. Elle semblait immense…

Les heures passèrent, ceci vérifié par mon gousset. J’avais déjà trouvé quelques fenêtres qui donnaient sur.. Le vide. Cette pièce semblait plein Sud, il n’y faisait donc pas froid.
Au fond, un petit siège s’amuse avec les autres, pour une banane. Plus rien de m’étonne, alors s’ils parlaient Coréen ces petites bêtes, je ne téléphonerai pas à la police ni au samu..
Justement, un petit singe me montait sur le dos.
-« Coco !
Ah, il venait de prononcer des syllabes, ce qui est normal. Coco. Coco ? Voulait t il dire quelque chose, m’annoncer un danger ?
Non quand même pas, un ouistiti (oui ça en est un) ne réfléchit pas tant que..
Les autres l’imitèrent, ils s’agitèrent d’une façon très inquiétante.
-Mais enfin, qu’avez vous ?
Je savais qu’ils ne me répondraient sûrement pas, trop occupés à se cacher dans des creux d’arbres ou agiter leur genre de.. Bras ?
Silence. Plus de bruit. Ils ont cessés leur vacarme.
-Ah enfin, il était temps bande de..
Je ne pus finir ma phrase, voyant dans les buisson des yeux d’un bien étrange vert.
Des yeux verts dans les buissons, n’est ce pas hors norme ?
Je saisis une branche, au cas ou la chose soit agressive, et m’approchai à petits pas.
Je me stoppai devant le buisson, et secouai ma branche dans tous les sens.
-Yiah, sors de ton trou sale bête !

C’est vraiment là que je me suis senti ridicule, car je n’ai pas eu de réponse, de plus, tous les singes m’ont regardé d’une façon étonnée.
Des pas. Des pas approchèrent vers moi. Je le sentais. J’avais beau ne pas être né dans la forêt, je les sentais.
Sans le vouloir, je me tournai. Une bête sauvage surgit, et grogna ce qui me terrifia vraiment.. Beaucoup !
Je ne me contrôlais plus, je secouais les bras, ce qui énervait encore plus l’animal.
Je courus le plus vite possible vers la porte, elle paraissait si loin !…
L’animal me poursuivait toujours, et finit par m’attraper mon jeans, enfin un bout de mon jeans.
Je tirai la porte, j’étais maintenant à l’extérieur dans le couloir, maintenant régnait en moi un immense soulagement.

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