Tout au bout du bord de l’extrême, derrière les dernières montagnes du Monde, s’élève le Château des 100 000 pièces Les murailles, et les tours et les étages de ce palais s’élèvent, à ce qu’il vous paraît, bien au-delà des nuages, au-dessus des cimes.
LA PIÈCE PISCINE DE RÊVE AUX REQUINS
LA PIÈCE PISCINE DE RÊVE AUX REQUINS

LA PIÈCE PISCINE DE RÊVE AUX REQUINS

Leïla#♥ as Leïla#♥

J’étais ballonnée. Ces bonbons était délicieux, mais j’en avais tant mangé ! Avec gabi nous n’avons pas quand même dévorés tous les bonbons de la piscine, mais nous en avons dévoré.. Beaucoup !
-C’était vraiment délicieux. ça vaut toutes les merveilles du monde ! s’exclama gabi, en finissant un dernier bonbons bleu
Je la regardais en souriant, mais finalement mon sourire ne resta pas aussi longtemps que prévu : Sa peau se couvrait de grosses pustules rouges, et elle enflait.
-Ga.. Bi ! Tu es très bizarre en fait.. Ta peau ! De gros boutons !
-De quoi tu parles ? rigola gabi
Elle ne se rendait pas compte qu’il se passait des phénomènes très bizarres.
-Ne t’inquiètes pas, toi aussi tu en as, dit gabi
-De.. Quoi ?!
-Des boutons rouges et mêmes bleus, me chuchota gabi dans le creux de mon oreille
Avec horreur, je poussai un cri et vit l’ampleur des dégâts : Des boutons partout.
-Haha, tu n’as pas compris, m’expliqua calmement gabi. Ce ne sont pas des boutons, c’est juste les traces des bonbons.
Elle sortit de son sac des mouchoirs, y déposa de l’eau et me montra que ça partait très facilement.
-Tant pis, autant continuer la route comme ça, nous n’avons pas le temps de tout faire partir, poursuivit gabi
Les traces de bonbons partaient au fil du temps, ce qui me rassurait.
Gabi s’apprêtait à emprunter un escalier, avant que je ne la tire par la manche pour se rendre vers la porte tout au bout du couloir.
Gabi poussa la porte bleue.
Nous étions dans une salle avec une géante piscine au milieu, un îlot avec du sable au centre, et autour c’était une plage factice.
-Parfait ! m’écriais-je en installant ma serviette
Gabi n’était pas aussi convaincue.
-Vaudrait mieux pas qu’on plonge là-dedans, doit y avoir des requins ! murmura t-elle, j’ai vu un aileron passer
Je n’y croyais pas. Par chance, j’avais pris u maillot de bain. Me voilà que j’étais prête pour aller prendre l’eau.
L’eau était un peu froide au début, mais je m’habituais peu à peu à la température. Dehors, par les immenses baies vitrées je voyais la verdure.
Gabi n’avait pas tort : Je vis un aileron passer devant moi.
Je n’eus pas le temps de sortir de l’eau, que le requin m’entraina dans sa course. Je pus à peine crier, et je me demandai si gabi avait entendu.
Elle avait eu raison de rester au bord de l’eau..
J’étais désormais sous l’eau ; la piscine était plus profonde qu’elle en avait l’air. Je savais que le requin allait me dévorer comme dans les films, j’étais prise au piège..
Il se passa tout à coup quelque chose d’extraordinaire : le requin avait des mains, et avec il retira son « masque » pour laisser place à un beau visage de jeune homme.
Avec puissance, il me ramena à la surface. Nous allions atteindre la surface, quand je vis gabi au fond de l’eau me chercher.
Arrivée à la surface, je criais sur le jeune homme :
-Allez chercher gabi ! Au fond de l’eau !!!!
Il ne comprit pas grand chose mais remit en vitesse son masque requin, et plongea au fond de l’eau.
Qui était ce jeune homme ?
Pourquoi se déguisait-il en requin ?
Et pourquoi m’avait-il attrapé aussi sauvagement ?
En éclaboussant partout autour de lui, le jeune homme-requin revint vers moi avec gabi avec lui.
-Qui êtes-vous ? lui demandais-je avec mépris
Ses beaux yeux bleus se plongèrent dans les miens ; je regrettais d’avoir été si dure avec lui. Il devait avoir notre âge..
-Je m’appelle thomas.
Cette phrase résonnait au plus profond de moi. Pendant ce temps gabi toussait de tous ses poumons pour chasser l’eau qu’ils contenaient.
-Je suis désolé de vous avoir fait peur..
-C’est sûr que ça t’amuse guignol d’avoir fait peur à leila déguisé en requin ! C’est pas carnaval, va à rio si tu veux te déguiser en mollusque ! ronchonna gabi
Le pauvre thomas se faisait crier dessus par gabi. La tête basse, il ne sut quoi dire.
-Tu t’appelles leila, et toi ? demanda thomas à gabi
-Gabi, répondit la concernée
L’ambiance était pesante. Thomas reprit :
-Je suis en stage de plongée, je m’entrainais.
-Misérable ! On est pas des mannequins ! cria encore gabi
-Toi tu étais au fond de l’eau j’ai préféré aller te chercher
Gabi comprit qu’il l’avait sauvé des entrailles de la piscine.
-Bon bah.. Merci au revoir, dit gabi finalement
On laissa thomas, pour rejoindre la sortie.. Une pièce bien étrange.

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