LE PLATEAU DE TOURNAGE DE LA COMÉDIE MUSICALE
La porte s’ouvre, et nous sortons avec Devhinn d’un véhicule motorisé. Nous nous retournons pour rattraper Ombre et Analayann – les marches sont hautes, et …
Suivez les péripéties d’une ombre, un gars, un nain, une amnésique et un magicien dont les routes vont se croiser et se délier au gré de deux pièces, deux faces d’une même prophétie. Iels ont déjà perdu et perdront encore beaucoup – leur barbe, leur humain.e, leur mémoire, leur libre arbitre, leurs compagnon.es d'(in)fortune. La vie. Mais la mort n’est pas la fin de l’histoire et le Château n’en a pas fini avec elleux.
La porte s’ouvre, et nous sortons avec Devhinn d’un véhicule motorisé. Nous nous retournons pour rattraper Ombre et Analayann – les marches sont hautes, et …
Carnet de DevhinnPièce perdue numéro 3 66ème pièce – Qui est le château ? Qui est le château ? J’ai mal. J’ai le goût du …
Le noir est revenu. Et avec lui, la brûlure dans mes yeux aveugles. Je gémis, ferme les paupières, les plisse le plus fort possible dans …
Aden. Le nom me noue la gorge quand je me laisse emporter à travers le vitrail. Il était – il est – là, tout proche. …
Habitué-es à l’absurdité architecturale du Château, nous ne nous étonnons pas d’atterrir directement dans la nef. Par sa taille, je conclus qu’il s’agit probablement d’une …
La porte laisse à l’ouverture un rebord au sol. Analayann manque d’y trébucher, je la retiens de justesse du bras droit, Devhinn du bras gauche. …
La beauté et l’opulence des lieux nous font nous arrêter quelques instants. Je n’ai jamais vu un endroit aussi somptueux. Nous sommes dans une immense …
Carnet de Devhinn65ème pièce D’abord je vois les tables et les bancs à quelques mètres, vides. Ensuite un comptoir plus loin, que des torches bien …
Je ferme la porte derrière moi. Le claquement, bien plus fort que ce que je souhaitais, résonne en écho entre les parois de mon crâne. …
Ma respiration se bloque aussitôt que le noir se fait. Même si je devrais être habituée, la sensation d’étouffer, avalée par l’obscurité, coule dans mes …