un gars… as un gars…
Carnet de Quelqu’un.
Pièce n°19.
Je poussais la porte (bien en hêtre…) et me retrouvais dans une pièce éclairée par des néons et un four à l’ancienne. Je vis des étalages de croissants déposés un peu partout, enfin, d’une telle manière que je ne voyais que ça !
Des croissants à perte de vue ! Et pas une seule étiquette de prix ! Affamé, et surtout car je ne mangeais que des barres fruitées pour les repas, je pris trois croissants sur une étagère, et deux autres sur un petit bar en bois.
Je les fourrais dans mon sac, et me faufilais parmi les étalages jusqu’à la sortie.
C’est que j’avais faim, moi !