Tout au bout du bord de l’extrême, derrière les dernières montagnes du Monde, s’élève le Château des 100 000 pièces Les murailles, et les tours et les étages de ce palais s’élèvent, à ce qu’il vous paraît, bien au-delà des nuages, au-dessus des cimes.
LA PIÈCE DU BOJENIN
LA PIÈCE DU BOJENIN

LA PIÈCE DU BOJENIN

marmotte au chocolat as marmotte au chocolat

Sur la porte de la pièce était écrit en rouge « ATTENTION BOJENIN ».
– C’est quoi un Bo..jenin? demanda Ambre.
– Je n’en sait rien, mais il n’y a pas d’autres issues alors on y va ! lui répondit-je. Et nous entrions dans la pièce. Après avoir fermés la porte nous découvrions une espèce d’énorme monstre, elle était recouverte de longs poils noir, elle ronfla se qui nous fit découvrir des milliers de longues dents pointues et elle avait des griffes immenses.
– Chut ne faites pas de bruit je crois que c’est le Bojenin, et je pense qu’il dort. me chuchota Dylan a l’oreille puis je fit taire Ambre. Après avoir fait quelques pas sur la pointe des pieds, Ambre éternua. Le Bojenin ouvrit les yeux, sauta sur ses pieds et grogna.
– Et voilà, tu l’as réveiller t’est vraiment nul! cria Dylan a l’intention d’Ambre.
– Eh c’est bon j’ai pas fait expres!
– Bon arrêter tout les deux je crois qu’on a un autre problème.
Le Bojenin commencait à s’approcher de nous.
Des armes apparurent dans nos mains, le Bojenin sauta sur nous. J’eus juste le temps de prendre la mains d’Ambre et de sauter pour échaper au monstre qui devait peser une tonne, Dylan lui avait sauter de l’autre côté, mais le Bojenin, profitant que Dylan eut le dos tourné il enfonça ses griffes dans le bras de celui-là.
– Dylan !!!!
J’empoigna une épée et l’enfonça dans la peau du monstre, mais l’épée ricocha sur la peau du Bojenin, sa peau était dure comme du bois. Puis j’essayais autre chose, je repris mon arme que j’enfonça dans l’oeil de la bête. Le Bojenin émit un cri de terreur et s’éfondra par terre.
– Je ne croit pas qu’il soit mort. remarqua Ambre.
Pas le temps de répondre je foncais vers Dylan, il était assit par terre et tenait son bras en se tordant de douleur.
– Ca va? lui demandais-je.
– Non j’ai très mal au bras.
J’arracha un morceau de tissus de mon t-shirt, la mouilla avec ma bouteille et l’appliqua sur le bras de Dylan.
Soudain le Bojenin bougea une de ses pattes.
– Vite sortons, il va se réveiller! proposais Ambre.
Et nous sortions de la pièce.

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